Les blessures de l’enfance, pourquoi en parler aujourd’hui ?
Car vos blessures auront un impact sur vos choix de vie et vont influencer votre avenir.
Toutes nos relations affectives se construisent à partir de notre première relation d’amour et elles reprennent l’origine de nos figures parentales.
Ce premier lien affectif devient le modèle qui influencera de manière significative la façon d’être en relation à soi-même mais aussi avec les autres.
Nos émotions, nos blessures d’enfance et nos réactions nous condamnent à revivre des relations insatisfaisantes et des comportements destructeurs ou l’on va souvent se poser en rôle de victime.
Certaines de nos blessures sont vécues dans la vie utérine, d’autres nous sont transmises comme des héritages par nos parents à travers nos gênes mais surtout dans notre éducation.
Nous portons tous en nous des blessures d’enfance qui influencent notre vie et nous poursuivent à l’âge adulte.
Nous sommes conditionnés à se conformer à un mécanisme de souffrance, de douleurs, de maux et nous continuons notre lutte avec nous-même sans forcément comprendre pourquoi.
Si vous êtes arrivé sur cet article, c’est que vous souffrez certainement de blessures de votre enfance, une aide et un travail sur soi sont indispensables afin d’identifier les blessures de d’en guérir.
Les blessures de l’enfance
La blessure de rejet
Le rejet est sans aucun doute la blessure la plus précoce et la plus destructrice pour l’enfant.
Il y aura de fortes conséquences en tant qu’adulte sur les relations.
En effet, il s’agit d’une mère ou d’une famille qui refuse la grossesse et la venue d’un nouvel être dans le foyer.
Soit par rejet ou par déni, cela concerne aussi les enfants nés sous X, nés d’un inceste ou d’un viol.
Durant les 9 mois de la gestation, l’enfant va recevoir les émotions de rejet de sa mère et ressentir de façon directe qu’il n’est pas le bienvenu, au plus profond de son être.
Une autre forme de rejet est liée à des caractéristiques physiques, culturelles, ethniques, linguistiques, religieuses ou intellectuelle.
On retrouve notamment les personnes à haut potentiel « les zèbres », souffrant des blessures de rejet.
Elles ne croient pas à leur droit légitime d’exister et se demandent ce qu’elles font sur Terre, elles se rabaissent et se sentent sans valeur.
Vous vous demandez ce que vous faites sur cette planète ?
Vous faites tout dans votre vie pour être irréprochable ?
Vous vous sentez couper du monde ou des autres ?
Vous avez le sentiment que vous n’avez droit à rien ou que vous n’avez pas de chance dans vos relations ?
La blessure de l’abandon
A l’origine, il y a une expérience d’abandon vécue, dont la personne n’a plus forcément conscience.
L’abandon est l’une des causes les plus courantes de mal-être pour beaucoup d’individus.
La blessure de l’abandon est un enfant qui est séparé de sa maman à la naissance ou en bas âge.
Abandon et possession sont des attitudes primitives qui induisent la terreur dans l’inconscient de l’enfant et donc de l’individu grandissant.
Le sentiment d’abandon est la plupart du temps proportionnel au désinvestissement parental.
L’enfant peut être effectivement abandonné, alors que rien n’est visible chez lui.
Le sentiment d’être véritablement envahi par des parents possessifs peut être tout aussi dévastateur pour la personnalité de l’enfant.
Un enfant dominé par un parent étouffant parviendra difficilement à se dégager de cette blessure et reproduira ce type lien en tant qu’adulte.
L’enfant va élaborer un système de protection intérieur, un mécanisme de défense.
Ce mental va faire taire les émotions ressenties et créer des barrages, des blocages, qui laisseront des traces dans la vie de l’enfant devenu adulte.
Cela a pour conséquence un manque d’autonomie, le besoin des autres pour entreprendre, un repli sur soi ou au contraire la peur de la solitude et ainsi avoir des comportements qui sont contraires à ses propres valeurs.
Vous vous accrochez aux autres en ayant peur qu’ils vous quittent ?
Votre quotidien vous dépasse ?
Votre hantise est la rupture dans votre relation ?
Vous avez besoin des autres pour vivre pleinement ?
La blessure de carences affectives
Lorsque vous souffrez de carences affectives, vous avez le don de vous lancer dans des relations de couple souffrantes et toxiques.
Et ainsi de développer une dépression amoureuse avec un sentiment de manque et de vide, de frustrations affectives et d’attentes surdimensionnées et inassouvies.
On attend de la part de l’autre qu’il nous donne ce que l’on n’a pas reçu durant notre enfance, ce vide et ce manque qui est à combler.
C’est-à-dire l’affection, la reconnaissance, l’attention, la protection, la sécurité, etc…
Toutes ses situations répétitives développent des mécanismes de défense compensatoire et va avoir un impact sur votre vie.
Cette carence affective est un besoin fondamental qui n’a pas été comblé.
Hors, vous allez automatiquement le chercher chez les autres alors que ce manque doit être rempli pas vous-même.
Avant de naître, un enfant a vécu dans le ventre de sa mère pendant 9 mois, il y a été enveloppé, bercé et porté.
L’enfant, comme l’adulte plus tard, garde donc le besoin d’être enveloppé et d’être câliné.
Et le besoin de contact et de tendresse est aussi important que le besoin de chaleur ou celui de nourriture.
Une personne en carence affective a l’impression d’être destinée à ne jamais trouver d’épanouissement.
À ne jamais parvenir à être entendu ou il se sentira souvent incompris.
L’individu ressent une sensation de vide, de solitude et d’absence angoissante avec la certitude douloureuse d’être condamné à être seul.
Etes-vous prêt à tout pour recevoir de l’amour ?
Plus votre partenaire est indisponible, plus cela vous obsède, vous énerve ou vous fait peur ?
Vous ressentez un manque sans comprendre d’où il vient ?
Vous êtes toujours dans l’attente de l’autre, d’un signe, d’un sourire, d’une attention ?
La blessure de l’auto sabotage
L’auto sabotage se présente généralement chez des personnes à qui rien ne réussit.
Il y a toujours cette notion d’échec dans leur vie malgré que tout soit réuni pour que ça marche.
C’est comme si ces personnes se programmaient pour être malheureuses, pour ne pas atteindre leurs objectifs et allaient inconsciemment créer eux-mêmes leur auto sabotage et donc leur échec.
Il y a la légitimité de ne pas réussir, car il y a eu un rabaissement ou un manque de soutient des parents qui est souvent présent chez les individus qui font de l’auto sabotage.
Lorsque le sujet affirme vouloir atteindre un objectif, souvent ses actions, sa motivation majeure et surtout ses résultats sont contraires au but qu’il se sera fixé.
Vu de l’extérieur, il semble se battre pour réussir, mais inévitablement, de façon plus ou moins subtile, il sabote tous les efforts qu’il fait et cela de manière inconsciente.
Cela peut aussi être limité à un seul domaine de sa vie, un domaine où la personne échouera sans raison apparente, car il se mettra lui-même en attitudes d’auto destruction.
Il est indispensable selon moi d’inclure dans les causes de l’auto sabotage, les expériences émotionnelles vécues lors de la conception, de la vie utérine, du lien avec les parents, ainsi que de l’héritage familial avec leurs propres croyances.
Vous ne vous autorisez pas à vivre votre vie et vous vous sentez bloqué ?
Vous vous sentez incompris ou mal aimé ?
Vous ne comprenez pas pourquoi vous êtes toujours en situation d’échec ?
Vous pressentez que vous provoquez vos propres échecs ?
La blessure de trahison
La trahison engendre un ensemble complexe d’émotions, la douleur, la peur, la colère, la peine.
Toutes ses émotions sont extrêmement puissantes et toute relation est douloureuse, elle est le règne du danger et de l’imprévisible.
On s’attend à ce que les autres nous fassent souffrir.
S’est comme se conditionner inconsciemment à se faire maltraiter, humilier, à ce qu’on nous mente, nous humilie et profitent de nous.
En général, la souffrance infligée est perçue comme intentionnelle ou résultant de négligence.
La méfiance et la trahison engendrent l’hyper-vigilance.
Toutes formes d’abus est une violation des frontières de l’individu, on ne respecte pas les limites physiques, sexuelles ou psychologiques de la personne.
Dans presque toutes les formes d’abus, la victime a le sentiment de n’être pas protégée et à un profond sentiment d’insécurité, d’impuissance ou d’imperfection.
Lorsqu’ils sont activés, les mécanismes de défense provoquent des émotions intenses qui mènent fréquemment, directement ou indirectement à des troubles de la personnalité.
Tels la dépression, l’anxiété, la panique, la solitude, les relations destructrices, l’abus d’alcool, de drogues, de nourriture et tous les désordres psychosomatiques.
Enfant, on vous forçait à obéir sous la menace de punitions ?
Vous ne pardonnez pas d’avoir été blessé(e), insulté(e) et rabaissé ?
Vous doutez facilement de la parole des autres ?
Ce n’est jamais qu’une question de temps avant que les gens que vous aimez vous trahissent et vous déçoivent ?
Vous sentez que vous êtes dans une boucle infernale ou vos relations se soldent à chaque fois par un échec ?
La blessure d’humiliation
L’humiliation est une blessure qui atteint son amour-propre.
Elle nous est infligée par un autre ou par nous-même.
Elle est habituellement accompagnée par un sentiment de honte et de rabaissement.
La plupart des individus prennent conscience que la culpabilité, les humiliations et les châtiments corporels sont des poisons distillés par les parents dès l’enfance et ils peuvent ravager toute une vie.
Les individus qui subissent cette blessure se jugent intrinsèquement imparfait, mauvais, coupable, inférieur ou incapable.
Révéler ses failles entraînerait la perte de l’affection des autres.
Ceci peut inclure l’hypersensibilité aux critiques mais il peut aussi exister une gêne et un manque de confiance en soi en se comparant régulièrement aux autres.
L’individu peut ressentir la honte de ses imperfections perçues ou se sentir humilié, rabaissé, vexé.
Par conséquent, il pense que si il s’occupe des autres et qu’il devient dévoué, il sera considéré aux yeux de toutes les personnes qui gravitent autour de lui.
Il prend beaucoup sur ses épaules et va inconsciemment attirer des situations et des personnes qui réveilleront son sentiment de honte et d’humiliation.
Il devient un spécialiste pour se dévaloriser en tant qu’individu.
« Je n’ai pas le droit au bonheur »
Les blessures d’humiliation trouvent leurs racines dans l’éducation, la religion mais aussi dans les conditionnements sociétaux.
Les personnes victimes de rejet et d’abandon, de trahison tout genre, ressentent de la honte qui mettent à mal directement leur amour propre, leur estime et la confiance qu’ils ont en eux.
Vous êtes susceptible et les remarques vous blessent profondément ?
Vous vous comparez souvent défavorablement aux autres individus ?
Vous avez peur de découvrir qui vous êtes vraiment ?
Vous vous occupez plus des besoins des autres que de vous-même ?
La blessure d’injustice
La justice se définit comme l’appréciation, la reconnaissance et le respect des droits et du mérite de chacun.
Telle la droiture, l’équité, l’impartialité et l’intégrité.
Une personne qui souffre d’injustice est une personne qui ne se sent pas apprécier à sa juste valeur.
Elle ne se sent pas respecter ou ne croit pas recevoir ce qu’elle mérite ou au contraire qu’elle reçoit plus que ce qu’elle croit mériter.
Celui qui souffre d’injustice alimente sa blessure en étant trop exigeant envers lui-même.
Il ne respecte pas ses propres limites et se fait vivre inconsciemment beaucoup de stress et de tourmentes.
Il est injuste avec lui-même car il se critique et a de la difficulté à voir ses propres qualités.
Il entretient une colère et un sentiment d’impuissance à changer les situations qui ne lui conviennent pas.
Vous êtes souvent déçu et insatisfait dans votre vie ?
Vous êtes régulièrement en colère et agressif avec les autres ?
Lorsque vous vivez une injustice, cela inonde constamment votre esprit ?
Vous avez le sentiment de ne pas recevoir ce que vous méritez dans votre vie ?
Les parents toxiques
Les parents toxiques sont des parents qui créent de façon inconsciente une relation de dépendance avec leur enfant vis-à-vis d’eux.
Une manière de les enchaîner psychologiquement.
L’enfant vient au monde avec des besoins et des sentiments, il a le besoin de survie (manger, boire, être soigné et protégé) et les besoins d’ordre psychologiques (être aimé, respecté écouté et guidé).
Les parents toxiques ne sont pas en mesure de respecter les besoins de leurs enfant de manière consciente ou inconsciente.
Ils façonnent l’enfant à l’image idéale qu’ils ont de lui et l’enfant n’a pas le droit d’exister tel qu’il est.
Ses besoins et ses sentiments propres sont systématiquement brimés car considérés comme dangereux ou même inadaptés.
Comme l’enfant a besoin d’amour pour survivre, il va progressivement réprimer ses besoins.
Il va les considérer comme dangereux ou malsains et va tenter de s’adapter aux désirs de ses parents.
Nié dans son essence même, l’enfant entre dans une dépendance vis à vis de ses parents.
Etant adulte il continuera à vivre dans cette même dépendance et cela aura un impact sur ses relations.
Les parents toxiques n’amènent pas leur enfant à grandir dans la confiance, dans l’autonomie ou dans la maturité.
La toxicité de parents « ordinaires » qui sont dominateurs, critiques, méprisants et/ou manipulateurs, font ainsi preuve d’une toxicité qui leur semble naturelle, persuadés qu’ils sont dans la légitimité de leur comportement envers leurs enfants.
Sous les apparences de l’éducation, les propos tenus aux enfants sont trop souvent des violences ordinaires qui conduisent à l’opposé de l’intention supposée par les parents.
Le déni de réalité est la conséquence d’un refus inconscient lié à de multiples frustrations.
L’enfant doit y faire face afin de se civiliser.
Depuis sa naissance et tout au long de son développement il va subir l’éducation et les traumatismes de ses propres parents.
Chaque étape de la croissance humaine est une séparation à accomplir, de même qu’une souffrance à surmonter, puis à intégrer.
Et il est difficile d’accepter que le mode éducatif de nos parents ait pu nuire à notre épanouissement.
Qu’ils aient crée des schémas de comportements dévastateurs répétitifs et souvent inconscient ainsi qu’une prison psychique qui empêche le bon développement de l’enfant.
Vous vous sentez coupable si vous n’êtes pas à la hauteur de leur attente ?
Vous éprouviez de la peur face à vos parents ?
Vous aviez peur de manifester votre colère par crainte des représailles en étant enfant ?
Vous êtes impliqué dans des relations destructrices en étant adulte sans comprendre pourquoi ?
Malheureusement, toutes ces blessures génèrent un manque d’amour propre, d’estime de soi et de confiance en soi.
Savoir s’aimer pour être aimer
Vivre sans amour de soi est une épreuve de chaque instant.
Comment pouvez-vous être aimé de manière bénéfique pour vous si vous ne vous aimez pas vous-même ?
Le manque d’amour pour soi tue la vie à petit feu et encourage l’entourage soit à fuir soit à être malveillant.
Dans tous les cas vous êtes perdant car il y aura l’échec dans vos relations.
Plus vous allez vous aimer avec douceur et bienveillance, plus les autres vous aimerons aussi de cette manière et plus la vie sera épanouissante pour vous.
L’éducation, la famille, la religion, la vie sociale et certains événements mettent un frein dans cette bienveillance à votre égard.
Pour vivre en harmonie, il est important de commencer par soi, s’aimer cela s’apprend.
« J’ai tendance à me maltraiter et me punir régulièrement »
« J’accepte l’inacceptable »
« J’ignore ou je renonce souvent à mes besoins pour celui des autres »
« Je me critique et me dévalorise souvent »
L’estime de soi est l’auto évaluation de ces valeurs.
C’est la reconnaissance de soi, l’acceptation de ses talents mais aussi de ses faiblesses.
C’est le sentiment qui peut être plus ou moins favorable et que chacun éprouve à l’égard de ce qu’il est ou de ce qu’il pense être.
L’estime de soi, c’est la confiance en notre estime, en notre propre valeur et respect de soi.
« Je suis moins intelligent que les autres »
« Je n’ai de raison d’être fier de moi »
« Je me sens souvent incapable »
« Je suis sensible aux remarques et aux critiques des autres »
Apprenez à vaincre vos peurs.
La confiance en soi est l’un des principaux piliers de la réussite.
Elle vous apportera le bonheur et vous permettra d’atteindre vos objectifs et sera utile dans tous les aspects de votre vie.
En d’autres termes, avoir confiance en soi signifie croire en ses compétences et en ses capacités.
C’est aussi aussi être conscient de ses propres limites et de les accepter.
Ainsi, les personnes qui ont confiance en elles ont une idée précise de ce qu’elles souhaitent obtenir dans leur vie.
Elles savent dans quelles mesures elles peuvent y parvenir ou pas.
Elles ont conscience de leurs points forts et savent se mobiliser pour améliorer leurs points faibles.
Elles ont conscience de ce qui les freinent dans leur progression.
Il est important aussi d’évoquer l’influence des autres dans votre vie.
Les personnes peu sûres d’elles sont généralement soucieuses de ce que les autres vont penser d’elles.
Elles ont également tendance à éviter de prendre des risques car elles ont peur d’échouer et de souffrir.
Un simple imprévu peut tout gâcher dans votre vie ?
Vous avez beaucoup de difficulté à vous détendre ?
Vous n’aimez pas prendre de risques ou sortir de vos habitudes ?
Vous êtes souvent dans le doute et l’incertitude ?
La guérison
Tout ces secrets que vous enfuyez au plus profond de vous depuis votre enfance, des souvenirs que vous tentez d’occulter car trop douloureux, difficiles ou qui vous renvoient à de l’injustice et des blessures et des souffrances du passé.
Si ils ne sont pas traités, malgré que vous les ayez mis consciemment ou inconsciemment dans un coin, cette blessure va un jour remonter à la surface.
Votre inconscient va la réouvrir à un moment de votre vie, la toucher et vous n’allez alors pas comprendre pourquoi.
Il est important de faire un travail sur soi afin que vos traumatismes n’influencent pas votre vie, vos choix et que vous puissiez avancer sereinement sans avoir des comportements limitants à votre évolution.
Votre corps vous demande aussi de vous libérer de cette souffrance, apprenez à l’écouter.
Si votre mental ne lâche pas c’est lui qui vous donnera des signaux d’alerte.
Comme par exemple des douleurs inexpliquées, des problèmes de sommeil, des blocages pour faire certaines choses de la vie, des émotions négatives, etc…
Il se peut qu’enfant vous ayez subi viol, abus, violence, maltraitance, abandon, rejet, etc…
Que vous ayez manqué de soutien, d’accompagnement, de vérité, d’amour, de tendresse et de bienveillance.
Oncle, tante, cousin, cousine, frère, père, mère, beau-père, belle-mère, voisin, ami, un jour un adulte a utilisé son pouvoir sur vous.
Il a commis un acte qui a laissé une marque traumatique que vous avez dû enfouir afin de survivre.
Ces injustices et ces souffrances ont créé des failles intérieures jusqu’à briser le cœur de votre enfant intérieur.
Lors d’une séance d’hypnose, je vous apprends à vous réconcilier avec vous-même et à faire ce travail d’amour et de douceur avec votre enfant intérieur.
J’aborde ces sujets en visualisant, en contactant l’enfant intérieur et en travaillant sur les énergies perturbées.
Puis vient la question du pardon.
Parfois c’est possible de l’envisager, parfois il faudra attendre une ou plusieurs séances afin de calmer la colère et le sentiment d’injustice.
J’explique que le pardon sera libérateur et que ce n’est pas cautionner les actes mais bien rompre les liens avec ce passé traumatique.
C’est finalement reprendre son pouvoir et sa vie en main.
Ces souvenirs douloureux enfouis restent logés à l’intérieur de vous en attendant d’être révélés.
Ils sont souvent la cause de problématique émotionnelle, psychique et aussi physique.
Au-delà de vos blocages psychiques, il faut imaginer un nœud énergétique dans votre corps qui empêche la bonne circulation de l’énergie de vie.
À la longue cela peut créer d’autres problématiques, les blessures de l’enfant intérieur créent des dérèglements énergétiques dans votre corps au-delà de votre esprit.
Les libérations ont pour but de reprendre ce qui vous appartient.
Ces morceaux de vie volées, de rompre avec ce passé afin de reprendre son pouvoir et sa puissance et ainsi laisser l’énergie de vie circuler.
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